Damien (23) Abidjan – Lamine (4)

Je me réveillai vers 2 heures de l'après midi, mon anus était encore enflé et ouvert, je pris une douche et déjeunai sous le regard goguenard du réceptionniste qui s'appelait Sandji puis je partis rejoindre Lamine à la plage.
Quand j'arrivai à la crique, mon black était allongé nu sur sa serviette, son sexe endormi reposait sur une de ses cuisse, il me sourit et me dit "Tu vas bien ?
- Oui.
- Ton cul aussi ?
- Ca va, il est encore ouvert et un peu douloureux mais ça
va.
- Tu t'es bien fait bourrer cette nuit ?
- Oui j'ai cru qu'ils allaient me .
- Viens donc me faire bander avec tes belles lèvres avant que
j'explose ton cul mais avant enlève ton slip et montre moi
ton trou du cul".
Je me tournai et baissai mon maillot, mon amant me dit "Penche-toi en avant".
J'obéis il écarta mes fesses avec deux doigts et me dit "Oh ça
va, ton trou est un peu enflé mais il est presque refermé,
ça prouve que tu es une bonne pute résistante, bon allez
viens me sucer salope".
Mon homme alla chercher un fauteuil de plage, il s'assit et écarta les jambes, sa grosse hampe dressée semblait m'implorer de m'occuper d'elle.
Je me mis à genoux entre les jambes de mon mec et posant une main sur ses testicules je me penchai vers la verge turgescente et du bout de la langue je commençai à exciter le gland tuméfié recueillant la larme de sperme qui suintait du méat.
Cette douce caresse eut pour effet de faire se tendre plus encore le membre érigé et Lamine me dit "ça me fait des
chatouilles, vas y suce-moi, prends-moi dans ta bouche".
Sans tenir compte de ce que mon amant venait de dire, je pris d'une main le phallus à la base et je me mis à le lécher sur toute sa longueur.
A ce contact mon homme gémit et se cambra pour s'offrir totalement à la gâterie que je pratiquais sur son sexe érigé.
Je continuai mes tendres attouchements jusqu'à ce que le pénis de mon mec soit luisant de salive, Lamine avait rejeté sa tête en arrière et savourait la caresse que je lui prodiguais en râlant de plaisir.


Quand je stoppai mes mouvements mon homme me demanda dans un souffle "C'est si bon, pourquoi t'arrêtes tu salope ?
- Parce que je crois qu'il est temps que je te suce vraiment.
- Oh oui petite pute prends-moi dans ta bouche, il faut que
je tire mon coup dans ta gueule de petite pédale, j'ai la
bite en feu.
- Un peu de patience je vais bien te sucer et tu vas me
donner tout ton sirop.
- Oui salope vas-y suce".
Tout en flattant légèrement les bourses gorgées de sève de Lamine je me penchai sur la verge turgescente et je l'embouchai.
Je restai quelque temps sans bouger, excitant l'énorme bout durci de ma langue puis lentement je me mis à monter et descendre sur la pine raide tout en la câlinant de ma langue et en la mordillant.
Au bout de quelques instants de ce traitement mon amant se mit à râler tout en se tortillant sur le fauteuil, son ventre venait à ma rencontre chaque fois que mon visage plongeait sur le pénis en érection.
Soudain je sentis le priape tressauter sur ma langue, il me sembla que le gland tuméfié doublait de volume et mon homme plaquant ma figure contre son pubis éjacula en feulant.
Un flot de sperme crémeux gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice tout en cajolant la bite qui continuait à se vider dans ma bouche.
Quand le calme fut revenu mon mec me relâcha et je me retirai.
Je levai ma tête vers l'homme que je venais de faire jouir et lui sourit, il me regarda et me dit "Salope, tu suces
superbement, ta bouche est vraiment une bouche à pipe,
quelle pute tu es. Allez mets-toi à quatre pattes que
j'explose ton trou du cul de petite pute car maintenant que
tu m'as sucé, j'ai encore plus envie de t'enculer salope".
Ce que disait Lamine était vrai, le superbe phallus d'ébène pointait vers le ciel, c'était incroyable, cet homme venait de tirer un coup et il bandait comme si il n'avait pas baisé depuis un mois.

Je pris la position en écartant les cuisses au maximum et en me cambrant pour m'offrir totalement à mon amant.
Celui-ci me dit "J'aime bien te voir dans cette position
salope on dirait une chienne en chaleur qui attend de se
faire baiser, je vais bien t'enculer pouffiasse, je vais
démolir complètement ton trou du cul de pédale".
Mon homme s'agenouilla derrière moi, il posa ses mains sur mon dos pour me faire baisser la tête sur la serviette.
Dans cette position mon postérieur en l'air était tendu, mon mec me pénétra d'un violent coup de reins me faisant gémir tant j'étais encore ouvert de la nuit passée puis me prenant aux épaules il se mit à me posséder à une vitesse folle.
Le désir, un instant retombé après le pied que je venais de prendre, se remit à s'insinuer en moi.
Sous les coups de boutoir redoublées que je recevais je commençai à râler la bouche grande ouverte.
J'avais le trou complètement éclaté, en dehors de mes râles on entendait les bruits de succion que faisait mon fondement ravagé chaque fois qu'il avalait la biroute démesurée qui m'élargissait un peu plus le cul chaque fois qu'elle se plantait au fond de mes entrailles bouillonnantes.
Mon mec me besognait en de rudes coups de reins me faisant avancer sur la serviette chaque fois qu'il m'emmanchait à fond.
J'avais l'impression que jamais on ne m'avait baisé de la sorte, ce que je ressentais était divin.
Sous les violents assauts que Lamine m'assénait je perdais pied de plus en plus, je ne vivais plus que pour et par le pal qui me forait les reins.
Le ventre de mon amant claquait contre mes miches portées au rouge à me faire mal, chaque fois que la pine turgescente s'enfonçait en moi je poussais des hurlements de bonheur.
Le corps tendu à extrême je bramais sous les virils coups de reins que j'essuyais.
Mon homme, les mains crispées sur mes épaules, me travaillait le cul en poussant des "HANS" de bûcheron, je n'étais plus que jouissance et de ma bouche toute grande ouverte ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaahhhhhh" continu.

Je ne savais plus depuis combien de temps Lamine me sodomisait de la sorte mais je voulais qu'il continue tant ce qu'il me faisait subir était bon.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon rectum en fusion mon amant éjacula, ses abondants jets de foutre crémeux fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur.
Mes ongles griffèrent le sable, mon corps s'arqua et un hurlement strident de plaisir pulsa de ma gorge.
Je tendis ma croupe vers le phallus qui se déversait en moi puis je tombai lourdement sur le théâtre de nos ébats.
Dans l'univers cotonneux de la jouissance où je me trouvais, je sentis le pénis sortir de mon antre et je restai immobile, yeux clos et cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.

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